J’ai arrêté d’écrire dans ce blog il y a plus de trois ans. Je veux recommencer maintenant, mais, cette-fois en français. Peut-être c’est une façon de faire table rase du passé. Une nouvelle perspective, une nouvelle méthode, et une nouvelle langue! Mais dans le même blog. En fait, même si je pouvais mettre à l’ écart toutes mes croyances, mon corps resterait le même. Je n'en peux pas sortir.
Pourquoi ce grand changement? A vrai dire, ce n’est pas seulement la nécessité philosophique qui mène à ce type de changement les gens comme moi divisés en plusieurs parties. C’est plutôt une tendance psychologique. La tendance de détruire tous ce que j’ai créé et tous ce que j’ai été, et de le reconstruire de nouveaux. J’ai l’impression que je suis incroyablement devenu semblable à notre société. Ce que j’y avais indiqué comme la caractéristique principale, c'est-à-dire le chaos, réside maintenant dans moi-même.
En vivant dans le chaos, ce n’est pas important combien vous avez avancé, tout à coup, tous ce vous avez construit, quoi qu’il en soit, se détruit. C’est mon cas. Je suis Nichapour en 1221, Ispahan en 1722, et Kerman en 1794. Mais quand il arrive à la douleur, nous passons les frontières du temps et de l’espace. C’est pour ça que je subis toute la douleur de l’humanité pendant son histoire. Je me brûle comme Londres en 1666, je me ruine comme Berlin en 1945, et enfin, je m'écroule comme l’URSS.
Regardez, toute mon existence se détruit.
Pourquoi ce grand changement? A vrai dire, ce n’est pas seulement la nécessité philosophique qui mène à ce type de changement les gens comme moi divisés en plusieurs parties. C’est plutôt une tendance psychologique. La tendance de détruire tous ce que j’ai créé et tous ce que j’ai été, et de le reconstruire de nouveaux. J’ai l’impression que je suis incroyablement devenu semblable à notre société. Ce que j’y avais indiqué comme la caractéristique principale, c'est-à-dire le chaos, réside maintenant dans moi-même.
En vivant dans le chaos, ce n’est pas important combien vous avez avancé, tout à coup, tous ce vous avez construit, quoi qu’il en soit, se détruit. C’est mon cas. Je suis Nichapour en 1221, Ispahan en 1722, et Kerman en 1794. Mais quand il arrive à la douleur, nous passons les frontières du temps et de l’espace. C’est pour ça que je subis toute la douleur de l’humanité pendant son histoire. Je me brûle comme Londres en 1666, je me ruine comme Berlin en 1945, et enfin, je m'écroule comme l’URSS.
Regardez, toute mon existence se détruit.
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